22 juillet :
suspendre l'instant, l'étirer en éternité, réduire le monde entier en cadrage, goûter la lumière, rêver aux lignes et aux reflets, que le détail soit l'idéal de notre vie, que chaque plus petit moment nous soit vie entière, que l'imagination en soit fécondée pour le plaisir, pour la beauté, pour la mémoire,
par la photo.
Je veux dédier ce poème
RépondreSupprimerà toutes les femmes qu'on aime
durant quelques instants secrets
à celles qu'on connaît à peine
ou qu'on destin différent entraîne
et qu'on ne retrouve jamais
(ça non plus c'est pas de Brassens, mais la chanson est bien jolie quand même)