La peur de ces pays est quelque chose qu'il faut que vous effaciez de vos esprits : l'inconnu y est accueilli mieux que dans tous nos pays "civilisés". Et, dormant dehors, je m'y suis senti plus en sécurité qu'en aucun endroit de chez nous.
Il y a peut-être plusieurs sortes de peur. La peur d'être agressé, la peur d'être surveillé, la peur du silence, l'inquiétude, l'intranquillité... Le regard de l'homme n'est pas un regard apaisé. Ce trouble là, profond, profondément humain, est plus rassurant que la promesse (intenable) qu'on vous protègera.
C'est le danger de ces régions rudes et les regards francs qui décuplent le plaisir d'être accueilli par les gens qui n'ont rien mieux que nulle part ailleurs. C'est le danger qui nous imaginons qui fait l'éclatante joie d'une humanité que nous avons presque oubliée.
Il y a peut-être plusieurs sortes de peur. La peur d'être agressé, la peur d'être surveillé, la peur du silence, l'inquiétude, l'intranquillité...
RépondreSupprimerLe regard de l'homme n'est pas un regard apaisé. Ce trouble là, profond, profondément humain, est plus rassurant que la promesse (intenable) qu'on vous protègera.
C'est le danger de ces régions rudes et les regards francs qui décuplent le plaisir d'être accueilli par les gens qui n'ont rien mieux que nulle part ailleurs.
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