"Et il ne peut être homme s'il n'entre pas dans le symbolique."
14 juillet : "Quand l'homme entre dans le monde, il entre dans le symbolique qui est déjà là. Et il ne peut être homme s'il n'entre pas dans le symbolique."
Umberto Eco, quel homme ! Rien qu'à entendre son nom j'ai des frissons ! L'argument d'autorité, ça m'a toujours fait kiffer grave ! Ca c'est moderne, l'argument d'autorité ! Ca c'est full groovy ! Revenons un instant sur le fond, qui est en somme très simple. Umberto mon poto, encore une fois tu enfonces des portes ouvertes il me semble par Freud et tous ses épigones. L'inconscient est structuré comme un langage. Un événement chargé d'affect n'est donc pas aussitôt analysé par la raison mais associé à d'autres, par des images, des émotions des mots (Lacan parle aussi de l'imaginaire en liaison avec le symbolique). Et en effet, même l'homme préhistorique faisait pareil. Bon. Encore une fois, on se répète mais c'est la life, entre cri-magnon et moi, entre la foule et moi, entre l'histoire et moi, tellement de fils, et de liens, et d'expériences communes, tellement d'analogies... Le propre de l'homme c'est de chercher indéfiniment ce qui est le propre de l'homme.
Je ne comprends pas le rapport entre cette photo et Umberto Eco. Ni entre Umberto Eco et l'argument d'autorité. C'est bien de critiquer, mais encore faut-il que ce soit sensé. Et il y a des hommes qui s'en foutent éperdument, de ce qui est le propre de l'homme.
Umberto Eco, quel homme ! Rien qu'à entendre son nom j'ai des frissons ! L'argument d'autorité, ça m'a toujours fait kiffer grave !
RépondreSupprimerCa c'est moderne, l'argument d'autorité ! Ca c'est full groovy !
Revenons un instant sur le fond, qui est en somme très simple. Umberto mon poto, encore une fois tu enfonces des portes ouvertes il me semble par Freud et tous ses épigones. L'inconscient est structuré comme un langage. Un événement chargé d'affect n'est donc pas aussitôt analysé par la raison mais associé à d'autres, par des images, des émotions des mots (Lacan parle aussi de l'imaginaire en liaison avec le symbolique). Et en effet, même l'homme préhistorique faisait pareil.
Bon. Encore une fois, on se répète mais c'est la life, entre cri-magnon et moi, entre la foule et moi, entre l'histoire et moi, tellement de fils, et de liens, et d'expériences communes, tellement d'analogies...
Le propre de l'homme c'est de chercher indéfiniment ce qui est le propre de l'homme.
Je ne comprends pas le rapport entre cette photo et Umberto Eco. Ni entre Umberto Eco et l'argument d'autorité.
RépondreSupprimerC'est bien de critiquer, mais encore faut-il que ce soit sensé.
Et il y a des hommes qui s'en foutent éperdument, de ce qui est le propre de l'homme.
Curieux. Il me semblait qu'il y avait un texte d'Eco sous la photo. J'ai dû rêver...
RépondreSupprimerMille pardons, donc.