samedi 27 novembre 2010
"et pourtant, si le pouvoir était pluriel comme les démons ?"
28 juillet :
je dis que la politique - à savoir l'institutionnalisation du pouvoir - est la meilleure façon de nous éloigner de ce qui est véritablement important, le politique : l'expression naturelle, inévitable et permanente de notre individualité en valeurs de pouvoir.
la meilleure façon de nous circonscrire dans un combat que nous sommes seulement sûrs de perdre.
affirmer son individualité, c'est affirmer son pouvoir individuel, son cylindre ponctuel et temporaire, ici et maintenant ; c'est affirmer qu'on n'estime pas platement un seul pouvoir (qui serait le pouvoir de la politique) qui serait situé au-dessus des hommes, mais qu'on considère tous les hommes comme des pouvoirs et les associations des hommes comme d'autres pouvoirs qui s'y ajoutent - et pas seulement parmi ceux-là l'état.
loin des prés gardés des partis de ceux qui savent qu'ils ont raison, que leur interprétation bien huilée et bien rodée par des décennies de discours est bien la bonne la seule la vraie, j'aime essayer de comprendre les hommes par moi-même en les rencontrant, hésiter souvent me tromper toujours expérimenter.
devenir ces hommes, chuter, se décupler.
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La meilleure manière de moraliser la politique, c'est d'en faire. De se syndiquer, de s'inscrire dans un parti. Surtout si tu ne veux pas le pouvoir. Donner le pouvoir à quelqu'un qui n'en veux pas, qui n'en a pas besoin, ce serait bien !
RépondreSupprimerEt la meilleure façon de réformer le politique, c'est de l'activer.
RépondreSupprimerle titre de l'article, d'où est-il extrait ?
RépondreSupprimeret pourtant je ne connais que ça...
tu dois trouver en toi-même la réponse, mon fils.
RépondreSupprimerRoland Barthes !
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