mardi 11 janvier 2011

Les mots sont des planches...
























jetées sur un abîme avec lesquelles on traverse l'espace d'une pensée qui souffre le passage et non point la station ; l'homme en vif mouvement les emprunte et se sauve mais s'il insiste le moins du monde ce peu de temps les rompt et tout s'en va dans les profondeurs.

5 commentaires:

  1. françoi, citant11 janvier 2011 à 20:44

    il n'est pas nécessaire de voir grand-chose d'extraordinaire. et ce qu'on a vu n'est déjà pas rien.

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  2. hé hé je l'ignore..
    c'est marqué sur mon bureau (détour d'une lecture)
    je trouve ça beau, ainsi que ta photo
    donc.

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  3. C'est du Paul Valéry

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