jetées sur un abîme avec lesquelles on traverse l'espace d'une pensée qui souffre le passage et non point la station ; l'homme en vif mouvement les emprunte et se sauve mais s'il insiste le moins du monde ce peu de temps les rompt et tout s'en va dans les profondeurs.
il n'est pas nécessaire de voir grand-chose d'extraordinaire. et ce qu'on a vu n'est déjà pas rien.
RépondreSupprimercitant qui ?
RépondreSupprimerhé hé je l'ignore..
RépondreSupprimerc'est marqué sur mon bureau (détour d'une lecture)
je trouve ça beau, ainsi que ta photo
donc.
C'est du Paul Valéry
RépondreSupprimerMerci
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